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Les 5 préceptes pour devenir un investisseur heureux

Combien de temps consacrez-vous dans l’année à la préparation de votre avenir, celui de vos proches, ainsi qu’à la gestion de votre argent ? Comme beaucoup, je présume que la réponse est trop. Eh bien je vous propose de prendre 15 minutes pour vous poser et découvrir les 5 commandements qui feront de vous un investisseur heureux. Ainsi nous évoquerons les meilleures pratiques pour vous constituer un patrimoine équilibré, mais aussi les principaux pièges à éviter. Car comme vous pouvez-vous en douter la voie de l’investissement rentable n’est pas un long fleuve tranquille.


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Déjouez les préjugés vous empêchant de devenir un investisseur heureux

Comme dans bien des domaines, plus notre degré de compétence est faible, et plus nous avons de préjugés bâtis sur notre vécu ou des on dit. L’investissement et la gestion de votre patrimoine n’échappent pas à cette règle. Découvrons ensemble les principales raisons qui vous ont peut-être freiné à ne pas investir dans le passé et de devenir un investisseur heureux.

Préjugé numéro 1 : Epargner ou investir, y a t’il une stratégie plus adaptée ?

La sémantique est importante surtout lorsque l’on parle d’argent. Si vous aviez une somme à placer et que l’on vous parlait d’épargne ou d’investissement, vers quel typologie de placement vous dirigeriez-vous ?

A prime abord, l’épargne est un terme rassurant qui évoque la capacité d’un individu à placer de l’argent provenant de son salaire ou d’une rentrée d’argent inattendue en vue de la faire fructifier. On y associe la notion de sécurité et de rendements stables dans le temps.

A contrario, le terme investissement revêt un caractère plus aléatoire dans l’esprit collectif. Souvent associé à la notion de bourse ou d’immobilier, l’investissement est perçu comme pouvant être plus rémunérateur mais surtout plus risqué. Est-ce réellement le cas ?

Que l’on parle d’épargne, de placement ou d’investissement, on parle de la même chose. L’objectif pour un particulier est de gagner de l’argent de ses placements en limitant le risque afin de répondre à un objectif précis. Une autre définition de l’investisseur heureux ?

Préjugé numéro 2 : Investir en bourse est réservé uniquement aux riches

Comme dans la construction d’une maison, un patrimoine se bâtit sur des fondations solides. Ces fondations représentent votre capacité à avoir un toit sur la tête et une épargne de précaution vous permettant de voir venir en cas de coup dur. Pour le coup, on parle bien d’épargne, puisque la question n’est pas de savoir combien rapportera ses sommes. Mais le principal est de s’assurer que ce capital soit disponible à tout moment.

Une fois cette réserve atteinte dont le montant est propre à chacun, il est possible de s’intéresser à des placements nécessitant une durée de placement plus longue telle que la bourse. Pour cette raison, on assimile par erreur le placement boursier à des personnes ayant beaucoup d’argent. Mais dans les faits, qu’une action L’Oréal soit détenue pour Françoise Bettencourt Meyers ou une personne lambda, elle aura la même valeur (cours de bourse) et détachera le même dividende.

Préjugé numéro 3 : Baser sa stratégie d’investissement sur les avis des brokers et des magazines spécialisés

Notre propos n’est pas de dire que les analyses des brokers ou des magazines spécialisés ne sont pas pertinentes. Mais pour faire une bonne affaire à l’achat sur les marchés financiers ou immobiliers, il faut posséder une information que les autres investisseurs n’ont pas.

Pour rappel, le principe d’un marché est de réguler ses prix en fonction de l’offre et de la demande. L’immobilier et la bourse ne font pas exception à cette règle. La valorisation fluctue en fonction de l’écart entre le nombre d’acheteurs et de vendeurs. Si vous avez plus de vendeurs, la valeur de votre bien va se déprécier. A contrario, un excès d’acheteur va faire prendre de la valeur à votre bien. En plus de cela, il existe un coefficient de pondération en fonction de la rareté du bien. On parle de liquidité dans le jargon financier. En d’autre terme, plus un bien est disponible en faible quantité et plus les fluctuations provoquées par l’écart entre le nombre d’acheteurs et de vendeurs va être accentuées !

Alors comment faire pour sortir du lot et ne pas suivre bêtement le troupeau. Il faut analyser les signaux faibles. Je ne parle pas d’informations secrètes uniquement détenues par le management de l’entreprise. Nous parlons d’informations disponibles qui semblent anodines aux yeux de la majorité des investisseurs. Prenons l’exemple d’une société cotée en bourse dont les résultats sont excellents et qui semblent avoir un carnet de commande plein. A priori, aucune raison de vendre les actions de cette entreprise. Mais qu’en est-il si vous appreniez que tout le top management de la société avait vendu les titres qu’ils détenaient. Voici un excellent exemple de signal faible !

Préjugé numéro 4 : S’appuyer sur le passé pour prédire l’avenir

Vous trouverez tous les ans en début d’année les classements des meilleurs placements par catégorie. Un véritable fond de commerce pour les magazines qui augmentent leurs ventes à cette occasion. Mais est-ce un procédé réellement fiable pour bâtir une stratégie d’investissement ? Vous avez surement entendu le bon vieil adage comme quoi les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Et bien nous remercions Franklin Templeton pour avoir mener une enquête sur les marchés boursiers en comparant 13 grandes classes d’actifs mondiaux pendant 20 ans. Les résultats sont édifiants démontrant que les champions d’une année ne sont pas les champions de demain.

Préjugé numéro 5 : Il faut être réactif aux fluctuations de marché

Lorsque le marché plonge alors que l’on ne s’y attend pas, la réaction logique est de couper la position en vendant la totalité de ses avoirs. Si vous aviez des actions au moment de l’annonce du résultat du référendum pour sur le Brexit, c’est surement ce que vous avez fait.

Je me souviens de discussions que j’ai pu avoir avec des commerciaux de maisons de gestion nous décrivant le pire si Donald Trump arrivait au pouvoir lors de la dernière élection présidentielle aux Etats Unis.

Et pourtant, ces deux évènements ont plongé les marchés dans la tourmente à peine une dizaine de jours avant que tout reprenne le cours de choses. En matière d’investissement, il faut savoir garder son sang froid et ne pas réagir dans la précipitation. Car si vous vendez dans un creux de marché, il vous sera délicat de réinvestir par la suite sur des niveaux plus élevés compte tenu de la volatilité. Vous risquez de voir passer les trains remplis d’investisseur heureux de détenir des titres sans jamais pouvoir monter dedans…

Gardez toujours en tête que pour faire de bonnes affaires, on achète au son du canon et on vend au son du clairon. Même si intrinsèquement, la prise de bénéfice est l’exercice le plus compliqué psychologiquement parlant pour un investisseur peu chevronné. L’investisseur heureux est donc un investisseur avisé, surtout en bourse !

Mettez en application les 5 préceptes pour devenir un investisseur heureux

En terme d’investissement, vous serez surement votre pire ennemi surtout si vous laissez vos émotions et vos doutes guider vos pas. Une fois que vous connaissez les pièges à éviter, il ne vous reste plus qu’à suivre les bonnes pratiques qui vous mènerons sur les chemins de la rentabilité.

état esprit investisseur heureux

Bâtissez des fondations solides pour votre patrimoine

Dans l’esprit collectif, on investit pour gagner de l’argent. Mais je vous assure que dans 90% des cas, ce n’est pas la préoccupation principale. Et vous, est-ce que vous vous êtes posé la question de quelles sont vos motivations ? Si le gain était la motivation première pour effectuer un investissement, plus personne ne placerait d’argent sur un livret A avec une rentabilité de 0,5% par an. Et de la même manière, l’écrasante majorité des français considère que la Pierre est le meilleur placement dans la durée, mais une minorité d’entre eux ont investi. Et qu’on ne me dise pas que la raison est le manque de moyen financier. Il est possible d’investir dans la pierre à crédit à partir de 10 000 euros d’investissement seulement !

Forgez vous des fondamentaux pour faire évacuer les freins vous empêchant de devenir un investisseur heureux

Il n’y a pas de recette miracle pour devenir un investisseur heureux, pas plus d’ailleurs qu’il n’en existe pour être un bon père ou une bonne mère. Qu’est-ce qui fait toute la différence alors ? Et bien c’est votre capacité a fixer un cadre en adéquation avec votre personne. Nous avons toutes et tous des aspirations dans la vie pour nous et nos proches en fonction de notre éducation et de notre tempérament. Alors pourquoi devrions nous aller contre dans la gestion de notre avenir ?

Respectez vos besoins fondamentaux

Vous avez du entendre parler durant votre jeunesse ou votre parcours professionnel de la pyramide de Maslow. Si ce n’est pas le cas, voici un résumé rapide du concept énoncé par son créateur.

Afin de pouvoir s’épanouir dans la vie, vous devrez vous construire étape par étape les conditions qui vous mèneront au bonheur. Ces conditions sont synthétisées dans la pyramide de Maslow. Vous ne pourrez vous réaliser pleinement sans avoir consolidé les 4 premiers étages de la pyramide. Il en est de même en ce qui concerne votre patrimoine.

Définissez votre cadre de vie

En fonction de votre vécu et de votre âge, vos aspirations ne seront pas les mêmes. Le tout est de les connaître et de tout faire pour être en adéquation avec elles. Les bonnes motivations, ce sont les vôtres ! Alors commencez par définir vos priorités et les moyens que vous souhaitez y consacrer aussi bien en terme financier qu’en terme de temps.

Le meilleur exemple en la matière : la résidence principale.

Vous pourrez lire autant d’articles vous indiquant que vous devez nécessairement être propriétaire de votre résidence principale, que d’articles vous déconseillant d’être propriétaire de biens immobiliers dits non rentables (absence de rendement locatif, charges importantes).

La bonne façon d’aborder les choses est de savoir si être propriétaire de son chez soi relève d’un besoin de sécurité ou non ? Si ce n’est pas vôtre cas, il faudra juste vous assurer de disposer de suffisamment de revenus pour être en mesure de pouvoir vous loger que ce soit dans l’immédiat ou le futur.

Pour les autres, la réponse est simple : vous devez devenir propriétaire de votre résidence principale dés à présent si vous en avez les moyens, ou vous donner les moyens dès à présent d’investir rapidement.

Pour atteindre votre but, fixez-vous des objectifs

Je me souviens encore de mes cours de gestion de projets en école d’ingénieur même si cela fait maintenant 17 ans que j’ai quitté les bancs de l’école. Mon professeur ne cessait de nous répéter que pour atteindre un but, il fallait :

  • avoir une très bonne connaissance de sa situation (forces, faiblesses, moyens disponibles pour réaliser son projet, contraintes),
  • définir des objectifs précis, quantifiables, ambitieux mais atteignables, réalistes, avec une deadline de réalisation. On parle de nos jours de la méthode SMART qui est un bon moyen mnémotechnique pour vous en souvenir.
objectif smart

Et je peux vous assurer que c’est essentiellement ce qui pêche dans votre quête de devenir un investisseur heureux !

Si je vous dis :

  • je vais me constituer une épargne pour faire fasse aux coups durs
  • je souhaite préparer ma retraite
  • j’ai envie de protéger mes proches

Est-ce que ce sont des idées que vous souhaitez mettre en place ? Alors faisons en sorte que vous puissiez les mettre en oeuvre en les transformant tout d’abord en objectifs.

Ne pas procrastiner et investir dès que l’on en a les moyens

On trouve toujours de bonnes raisons pour remettre à demain ce que l’on peut faire le jour même. En gestion de patrimoine, il en va de même. J’ai le temps pour préparer ma retraite. Je prendrai rendez-vous demain avec mon assureur pour faire un point sur mes contrats de prévoyance. J’ai de l’argent à placer, mais je vais le garder sous la main au cas où j’en aurai besoin tout de suite. Je veux investir dans l’immobilier pour profiter des taux bas, mais ne seront-ils pas encore plus bas demain ? La loi Pinel est-elle un bon dispositif fiscal ?

Le mieux est l’ennemi du bien. Si vous attendez d’être certain de faire la meilleure opération possible, vous ne ferez jamais rien ! Et c’est peut-être votre cas d’ailleurs.

Ne sauter pas sur la première opportunité venue

Il y a deux étapes prépondérantes dans un projet d’investissement.

Comme nous l’avons évoqué précédemment, les bonnes affaires se font à l’acquisition sur les marchés. Si vous réussissez à acheter un bien avec une décote ou en tout cas à son juste prix, cela augmentera sensiblement votre potentiel de gain à la revente. Alors avant de vous jeter sur ce qui vous paraît être la bonne affaire, faîtes une étude approfondie pour déterminer si la valeur d’acquisition est cohérente que ce soit pour des valeurs mobilières (actions, obligations, OPCVM) ou des biens immobiliers. Car Investir dans l’immobilier n’est une chose pas anodine, surtout si vous souhaitez investir dans l’immobilier locatif.

Et rappeler vous que le bon timing pour investir est le moment où :

  • vous avez les moyens financiers de le faire (cash ou capacité d’endettement). Les marchés financiers offrent un large choix d’investissement où vous devriez trouver votre bonheur,
  • une étude aura été fait sur les conséquences juridiques et fiscales de votre décision d’investissement.

Une fois que vous aurez toutes les cartes en main, vous pourrez vous lancer en toute sérénité et faire le choix qui vous correspond.

Accorder une grande importance aux aspects juridiques et fiscaux pour votre patrimoine

Il est naturel d’être focalisé sur les gains immédiat (avantages fiscaux, réduction d’impôt…) et dans le temps. Mais avez-vous fait le nécessaire pour protéger votre patrimoine de la fiscalité et des conséquences d’un accident de la vie (divorce, décès). Un mauvais montage juridique ou un choix fiscal hasardeux peut avoir de très lourde financière sur votre patrimoine.

Je vais prendre deux exemples pour étayer mes propos.

La nécessité de prendre des dispositions civiles

Le code civil tire son fondement de l’époque napoléonien. Il a connu des évolutions au court du temps mais pas de profonde remise en question. Son objectif majeur est de protéger la famille (couple mariés) et plus particulièrement leurs enfants. Toutes les dispositions d’ordre public vont dans ce sens. Mais savez-vous au moins ce qu’est une disposition d’ordre public ?

Et bien une disposition d’ordre public est une règle de droit à laquelle on ne peut déroger. Toutes les autres dispositions peuvent être adaptées à travers un contrat. En droit civil, le contrat auquel on pense immédiatement est le contrat de mariage.

Si nous revenons à l’époque où a été rédigé le code civil, la vie était bien différente d’aujourd’hui. On se mariait et faisait des enfants jeunes. Le divorce n’était pas de mise. Il est clair que cela ne répond plus aux standards d’aujourd’hui. D’ailleurs, existe t’il encore des standards ? Pour cette raison, il est important de définir les relations dans le couple et notamment lors du mariage à travers un contrat. Cela ne signifie pas forcément de renoncer à la communauté mais bien de l’aménager.

Faire les bons choix en terme de fiscalité et de mode d’acquisition

La fiscalité peut avoir un caractère prépondérant dans les investissements surtout si l’on se trompe de montage. Je vous fais part d’une histoire qui s’est avérée peu heureuse pour les personnes concernées.

Elle concerne une famille d’entrepreneurs en l’occurence un père avec ses deux enfants. Le père voulait réaliser un investissement immobilier locatif en achetant un local commercial pour une mise en location. Comme tout bon entrepreneur, le père a pensé qu’une acquisition d’immobilier d’entreprise doit se faire par le biais d’une SCI. Le notaire mandaté pour créer la société a privilégié la transmission aux enfants au détriment du père en procédant au démembrement des parts de la SCI. Il a octroyé la nue propriété répartie à 50/50 entre les deux frères et donnant l’usufruit au père. Aucune décision n’ayant été prise d’un point de vue fiscale, la SCI est restée une société translucide. Les associés sont alors redevables de l’impôt en fonction de sa nature (revenus fonciers, ISF et désormais IFI).

L’opération ne semblait pas si mauvaise que cela puisque les loyers couvraient tout juste les charges et les mensualités du prêt immobilier. C’était pourtant sans compter sur l’imposition. Les trois premières années, les charges déductibles (frais de notaire et de cautionnement) ainsi que les travaux réalisés à l’achat du local ont rendu l’imposition complètement indolore. Ce n’est que quelques années plus tard que le père s’est retrouvé avec une imposition annuelle de 12 000 euros (impôts fonciers, prélèvements sociaux, ISF) sans percevoir un euro de l’investissement. Malheureusement, la seule manière qu’il a désormais de se sortir de l’opération est de procéder à une donation de l’usufruit de ses parts de SCI à ses enfants. Le père n’aura rien perçu et juste permis à ses enfants de s’enrichir. Et tout ceci pour une simple raison : ces enfants suite à une mésentente ne souhaite pas vendre le bien et dissoudre la SCI. Ce n’était aucunement l’objectif de ce père de famille qui souhaitait percevoir des revenus complémentaires pour sa retraite. Nous sommes très loin du compte de l’investisseur heureux et pour le coup uniquement à cause d’un montage inapproprié !

Entourez des bonnes personnes pour vous constituer un patrimoine

La gestion d’un patrimoine est une tâche complexe nécessitant de maitriser le conseil en investissement financier et immobilier, la fiscalité, le droit notamment le droit civil et la comptabilité. Bien entendu, toutes ses compétences sont nécessaires si l’on veut le faire correctement.

Votre patrimoine, c’est votre histoire. Alors il serait bon de ne pas la confier à n’importe qui. N’oubliez pas qu’un investisseur heureux est un personne ayant bâti des fondations solides pour son patrimoine pour le protégeant des aléas de la vie (séparation, divorce, invalidité, décès dans le foyer).

Alors si se constituer un patrimoine harmonieux est un métier, quels seront les professionnels qui pourront vous aider dans cette tâche :

  • un notaire de famille. Il vous sera d’une grande utilité dans vos acquisition de bien immobilier. Il vous fera gagner du temps dans vos acquisitions tout en protégeant vos intérêts en procédant à des recherches approfondies sur les antécédents du bien. Surtout, si vous tombez sur un agent immobilier plus occupé par toucher rapidement sa commission que de d’accompagner ses clients vendeurs et acquéreurs dans leurs démarches respectives,
  • un banquier de confiance. Même si vos relations en sont pas au mieux avec votre conseiller bancaire actuel, vous aurez absolument besoin d’une banque pour obtenir des crédits surtout immobiliers. Pour votre premier investissement, vous avez la possibilité de passer par un courtier en crédit qui sera vous orienter vers une banque correspondant à votre profil,
  • un conseiller en gestion de patrimoine (CGP). En tant que spécialiste de la gestion de patrimoine, il saura vous épauler dans les domaines juridiques, fiscaux et d’investissement. Mais attention, lorsqu’on parle de CGP, nous pensons à des professionnels spécialisés dans le conseil et l’accompagnement dans le temps. Ne les confondez pas avec des vendeurs de Pinel ou d’assurance vie qui vous feront croire que ces produits sont capables de s’adapter à toutes les situations, et donc particulièrement à la vôtre…

J’oubliai la condition sinequanone pour que l’alchimie fonctionne avec votre équipe : tous ces professionnels doivent capables de travailler entre eux dans votre intérêt !


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